dimanche 7 novembre 2010

Bravo les verts

Bravo les verts: "



Tahia EL-Djazair.











C'est comme çà que nous nous sommes elevès,











Ce n'est pas de grè grè, ce n'est pas de hasard, ce n'est pas de la chance, ce n'est pas de la Chàouada.



Tout simplement, c'est l'Algerie et ses enfants quand ils veulent faire leur miracle.

Après le score mené contre les Pharaons 3-1 Aujourd'hui nos leaders confirment leur compétance contre la Zambie, battue par un score de 2-0 .

El hamdoullah l'Algerie existe toujours, malgrè la manipulation cette derniere quinzaine d'années, aujourdh'ui le football leur rassemble avec joie et fiertè.

On peut citer avec fiertè;

Hassiba boulmerka, Loucif Hamani, Noreddine Morseli, Madjer, Dahleb, Zidane (malgré sa nationalité Française), Belloumi, Mohammed Gasmia, etc......

L'espoir est de participer avec tête haute au prochain mondial,

Bonne chance les verts.

Maintenant il est temps de comprendre pourquou cette Algerie, est tantôt tirée par les orientaux, à leur profit. tantôt tirée par les occidentaux à leur profit eux aussi.

On dirait que ce country , est comme une famille des orphelins, chacun des gens visent sa proie dedans.

Avons-nous une identité.? Peut-on lever notre tête, bien haute.?

Ou bien juste se soumettre à ces sponsors étrangers de nous deriger, de nous exploiter, et de nous arrache que leurs interets.?

Sommes-nous des chevaux de course ou de bataille.?

Sommes-nous comme ces abeilles, qui donnent de miel pour guerir les autres.?

Sommes-nous vraiment incapables ou ignorant de ce que les autres beneficient sur nos dos.?

Enfin il faut écouter une des chansons de Lounis Ait Menguellet, pour pouvoir trouver une reponse à ce sujet. Cette chanson est (Lfarhik ay akvayli matesnad yiwan akyini tirrugza d ketch id vavis.....As tughalad d lfushi ar ayefd ger ifasnis; dima taggara, di tghmart ak itsekki ma yekfu yessek chaghlis) C'est preque un verset (Staghfir Allah).ça a beaucoup duré et ça durera beaucoup plus et beaucoup pire qu'aujourdhui.

Mais l'espoir est notre lumiere, tôt ou tard. Ce nuage ou ce brouillard, disparaitra, des cieux de nos beaux paysages, un jour ou l'autre.

Le jour où on atteindra ce but, ça sera un nouveau soleil pour le quart de l'univers.

La France grace à Zidane elle a eu sa premiere coupe mondiale en 1998, Le Mobdial suivant n'a rien fait, car Zidane était retirée.

Un autre Mondial, Zidane de retour . Il a mené ces coqs jusqu'à la finale, et ce bétait pas la tactique Italienne (cvarton rouge a Zidane) Il aurait du faire quelque chose aussi.

Maintenant Zizou est parti, aucun Français ne peut prendre la relève ou quelques 50% de lm'enregie Française de football.

Donc ils font appel à Benzima pour pouvoir encore sauver bateau des coqs de leur naufrage.

Et nous.?????????? comment????????????????????? jusqu'à quand???????????

Ouf ELhamdullah (le mot le plus beau en Islam et en langue Arabe), Nous avons le dieu avec nous .

Pour croire au dieu il faut croire à toute sa créature, et aimant toute ces ames . et faisant que de bien.





Football - Qualification 2010 Europe09/09/2009 - 14:00

Le mystère BenzemaDPPI

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Seul contre tous ?

Et si c'était les barrages...

Gourcuff : 'Etre les patrons'

Karim Benzema ne cesse d'être appelé en équipe de France depuis mars 2007. Paradoxalement, s'il enchaîne les grosses performances en club, il ne s'est jamais imposé en sélection. Remplaçant probable en Serbie, le Madrilène n'est plus l'option prioritaire en pointe. Décryptage de l'énigme Benzema.

Karim Benzema va-t-il suivre la même trajectoire qu'Eric Cantona ? Indispensable en club, élevé au rang de Dieu vivant à Manchester, beaucoup plus discret en sélection. Ou pour prendre l'exemple d'un autre Gone, Florian Maurice, auteur de 33 buts en deux saisons entre 94 et 96 mais qui ne s'imposera jamais chez les Bleus. Car le cas Karim Benzema commence à poser question. A Lyon, sa trajectoire a suivi une courbe impressionnante. De jeune espoir du centre de formation au statut d'attaquant parmi les plus désirés d'Europe en deux ans. 24 mois, 37 buts, un titre de champion et une explosion sur la scène hexagonale et continentale. Mais pas internationale. Voilà tout le mystère d'un début de carrière canon. La seule anicroche d'une partition presque parfaite.

Et le sens des dernières sélections n'esquisse pas un retour en grâce du Madrilène. Depuis France-Serbie (2-1) et une nouvelle prestation fade et insipide, Benzema n'a plus pris place dans le onze de départ de Raymond Domenech en compétition officielle. Remplaçant aux Iles Féroé, il n'est pas entré en jeu. Et s'il a bien foulé la pelouse du Stade de France durant 20 minutes samedi dernier face à la Roumanie, Benzema n'a pas apporté grand chose. Si bien qu'André-Pierre Gignac et Nicolas Anelka le devancent désormais au sein de la hiérarchie des attaquants tricolores. Lui, l'attaquant titulaire du club européen à l'effectif le plus pléthorique d'Europe.

Trop isolé au sein du 4-2-3-1

Comment expliquer ses difficultés dès qu'il s'agit d'enfiler le maillot tricolore ? Ce n'est un secret pour personne, l'ancien idole de Gerland préfère évoluer avec un point de fixation au sein d'une attaque bicéphale. Si bien qu'il ne s'est jamais senti aussi à l'aise à Lyon que lorsqu'il pouvait combiner avec Fred. De fait, il s'est souvent senti isolé à la pointe de l'immuable système mis en place par Raymond Domenech en 4-2-3-1. Et quand les observateurs louaient son sens du dribble et sa faculté à éliminer en un contre un entre Rhône et Saône, les mêmes s'acharnent sur son individualisme forcené en sélection. Dès lors qu'il ne fait plus la différence balle au pied, son ego est pointé du doigt.

'Je dois ouvrir les yeux et ne pas me voiler la réalité. Il me faut un match référence avec les Bleus. Une rencontre où il faut que je fasse la différence. Ça va venir', déclarait-il la semaine dernière dans le Parisien. La thèse du manque de confiance en sélection, de doute qui s'installe peine à convaincre pour un joueur qui a toujours affiché une grosse confiance en ses moyens. 'J'ai parfois quelques petits manques sur le terrain. Mais c'est comme ça, c'est mon jeu, à moi de consentir les efforts nécessaires', admet-il dans un élan de remise en cause. Son attitude déplacée envers les tauliers lors du dernier Euro a alourdi ses relations avec le sélectionneur national. De même que sa désinvolture constatée lors des derniers rassemblements des Bleus. Tout n'est pourtant pas figé pour le joueur aux 25 sélections pour 6 buts. 'Je suis un compétiteur et je ne me contente pas d'être sur le banc de touche', précise-t-il. Qu'il se rassure. Avant lui, certains attaquants de grand talent ont dû attendre des années avant de s'installer comme des rouages indispensables de l'équipe de France. Ce n'est pas son compère d'attaque, Nicolas Anelka, qui dira le contraire.Eurosport - Martin MOSNIER

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