lundi 20 décembre 2010

La récolte des olives; dh elwaqth n llaqt u zemmour

Maintenant Il est temps de ramasser nos olives, c'est la saison et la neige a cessée; On ne voit sur les champs que des groupes des femmes et hommes sous les oliviers, ramassant leur récolte annuelle. Plein d'ambiance et des feux partout pour se chayffer, les couffins d'Aghroum d'ifessassen attachés aux troncs et branches des arbres.
Les femmes en tenues multicolor avec leurs robes et Kandouras, des foulards aux cous.et sur la tète.
Les mains et les lèvres teints aux couleurs des olives.
Les enfants se concurrencient qui ramasse plus de quantité,
Au soir en revenant à leurs maisons, c'est presque la majorité préparent Thivaàjajine, aux sucres. Les autres thimsemnine.etc.....



























Les producteurs d'huile d'olive à la recherche d'un label à Bordj Bou Arréridj



Les producteurs d'huile d'olive de Bordj Bou Arréridj, convaincus de la "limpidité et du goût" de leur produit, veulent le labelliser et lui "forcer un chemin sur le marché national, voire international", apprend-on lundi de la direction des services agricoles (DSA). Selon la même source, un texte portant sur la labellisation des produits agricoles, comprenant également d'autres produits du terroir, est "en voie de finalisation" et sera bientôt mis en application. L'huile d'olive avec 27.000 hectolitres produits cette année, est l'un des produits visés par cette "nouvelle disposition commerciale, avantageuse pour la filière oléicole", a-t-on indiqué à la DSA, soulignant toutefois qu’"un énorme effort reste à faire en ce qui concerne le conditionnement du produit qui n'obéit, aujourd'hui, à aucune règle de marketing". Toute la production d'huile d'olive à Bordj Bou Arréridj est en effet écoulée en vrac ou dans des bouteilles en plastique de différentes dimensions, parfois dans des bidons en plastique de cinq litres, le tout exposé le long des routes de la wilaya ou dans les marchés en plein air sans le moindre étiquetage identifiant le fabricant ou l'origine du produit, peut-on constater. Cette année, les prix ont grimpé jusqu'à atteindre les 600 DA le litre pour les huiles se prévalant d'une certaine réputation, comme celles de la localité de Bounda ou de Teffreg, dans la daïra de Djaâfra. Cependant, selon les services agricoles, les producteurs doivent dès à présent, pour obtenir un label, réfléchir au conditionnement de l'huile d'olive, "complètement inexistant dans l'ensemble des huileries". Près de 150.000 quintaux d'olives ont été produits en 2009, sans compter les productions familiales non comptabilisées, soit une production "suffisante pour lancer une filière commerciale regroupant tous les producteurs", estiment plusieurs oléiculteurs, lançant un appel aux autorités locales pour "organiser un cadre commercial avec un label bordjien pour l'huile d'olive". Une centaine d'huileries, dont une dizaine fonctionnant selon les canons traditionnels, opère dans la wilaya des Biban. Selon les services agricoles, la filière oléicole qui dispose de vergers totalisant 789.000 arbres, est appelée à augmenter de 40 à 50%, dans quelques années, avec l'entrée en production de 16.000 oliviers plantés il y a quatre ans d'où la nécessité de "mieux organiser" le métier au plan de la commercialisation. Notons que l'oléiculture en Algérie est une mine d'or mais mal exploitée. Une filière qui recèle d'énormes potentialités. Selon, les prévisions des responsables du secteur agricole, la production d'huile d'olive pourrait atteindre 50 000 tonnes en 2010 avec l'entrée en production des nouvelles plantations. Actuellement, cette filière se concentre dans certaines wilayas comme Béjaïa, Tizi Ouzou et Bouira qui ont produit, à elles seules en 2008, 179180 hectolitres sur une superficie de 102 893 ha, soit 51% de la production nationale et environ 44% du verger national oléicole L'Algérie envisage de développer la filière oléiculture avec une plantation d'un million d'hectares d'ici à 2014, contre 350 000 hectares actuellement. De grands espoirs sont fondés sur l'essor de cette filière, rappelant que le programme pour la période 2010/2014 ambitionne d'étendre la superficie de la culture oléicole à 1 million d'hectares. Objectif qui permettra non seulement d'augmenter la production, mais aussi de répondre aux règles du marché, par le biais de la promotion des investissements et du développement d'une approche à même de lutter contre la pauvreté et la désertification. Pas seulement, il s'agit aussi, au regard, de l'augmentation de la demande interne et externe en ces produits, de pouvoir développer les capacités de leur transformation, avec une amélioration constante de la qualité.R.A.

dimanche 19 décembre 2010

Participez, Posez vos commentaires,Ecrivez,Laissez des mots

Salut à tout nos visiteurs.



Comme je suis l'auteur de Blog, je possède d'une option me permttant de voir les statistiques du Blog quotidiennement.

En prenant l'exemple d'aujourdh'ui, nous avons 33, de France, 15 d'Algerie, 4 de Canada,4 de la Russie, 3 de l'Allemagne, 3 de Maroc, 2 des Emirates, etc....

Soyez les bienvenus, nous sommes ici pourvous aider et vous orienter dans le cas possible.



Mais n'oubliez surtout pas de laisser des mots sur les commentaires, sans être ogbligé d'indiquer vos noms et prenoms.

Et ce pour l'interet du Blog et sa survie pour une longue durée, et pour l'interet aussi de tous les citoyen de cette région.

Nous nous excusons d'avance pour le manque d'information et de données concernant les villages et communes voisines,

Car ce ne sont que des efforts d'une personne agée et occupée par son travail et devoir envers sa famille.

Faites adresser vos photos, et autres vers cette adresse e-mail:  wazi_n_izem@yahoo.fr





Bonne chance à tous et à toutes.

samedi 18 décembre 2010

L'aprés la neige.

Tout un merveilleux décor,

La population commence à sortir, habillé de leur burnousses, Kachabia, monteaux , Et Bottes.etc....



Ce (burnousse blanc)  de la neige, couvre tout les villages, on ne peut voir que de la couleur blanche toutes les toitures sont peintes de meme décor.On se confond entre les sols et le toits.Que de la fumée sortent des cheminées, le bruit de verglas, à chaque passage d'une personne devant la maison, la grande artère du village , brille avec ses eaux pures et claires venadescendantes  des neige de la montagne, les autres ruisseaux eux aussi, chantent le même rythme, des cours d'eaux.parfois des cascades, parfois genre  d'abrevoirs quand cette eau trouve des endroits plats. les champs de différentes plantes de légumes écrasès par le poids de la neige, les brodures des toits en tuile avec la quantité chargée de la neige, forment les dents d'un peigne de differentes tailles, (Izavlolen), les cours des maisons comme d'habitude , on y trouve beaucoup de genre de vaisselles tel; les marmites, les casseroles, les bidons, etc,,, et ce pour les remplir des eaux tombant de la neige des toits.des a utres espaces on y trouve des gens equipés de hache, ou de scie , préparant leurs buches comme combustible.

Le gens se rassemblent en petits groupes, par-ci par-là,  se discutent de retour au ramassage de leurs olives, les autres parlent de leur besoins de nourriture, Il y a aussi ceux qui cherchent la nourriture de leur bétails en allant la chercher (Chtave, Idhles) dans ces forets couvertes de la neige.

Dés que la nuit tombe,on sent l'odeur de différents plats, tel; Thikourvavine sou chedhlouh, Secsou sou chedhlouh, Secsou si vaouane dhu yazitt.Aftir oukassul, Avazine,  etc....

Aprés quelques heures de la tombée de la nuit: Les gents se rendent visite à leur proches, familles amis etc...

Chaque nuit on change d'endroit de réception.

Là oû on peut apprendre les contes, de nos ascendants comme les personnes agées, on nous rconte; Tseryel, Loundja,Izerzer, Waghzen,A àqqa yessoualen, Lghoula m sevaà th chattitine etc.....

Jusqu'à l'heure tardive, les enfants dorent les adultes se dispersent chacun regagne son foyer.